Ou comment se laisser aller … quelles conséquences futures ???

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ART_constantesEconomieStagne

datant de 2004 à 2016 ? .. Quel est ce manifeste ? Je vais effacer au mieux les surplus.

J’aurai pas du être si fatigué, ni boire … FB : manifeste européen , en platitude marquée…
à 23:05
La plupart de ces éléments sont entrain d’être mis au point dans des programmes régionaux …
le 5 ? c’est le point « blague de gauche », qui est effectivement LE moyen de continuer sur une voie très (trop) similaire à celle actuelle: cela ne change pas la méthode mais les ingrédients (produits verts) cependant ça va affecter tout de même la qualité. d’où aussi accentuer encore le gouffre de notre économie à bout de souffle. Pourquoi ? Plus profondément il faudrait réfléchir, aller plus loin dans le détail, mais pourquoi ? et de trouver les éléments d’étayage pratique de notre société, afin de passer à une économie de l’échange (non plus basée sur le profit exubérant (sucrage perso)) .. difficulté d’expliquer un système qui serait possible seulement par une réelle remise en cause des routines

à 23:15
Je cherchais un manifeste, je ne vois que des points généraux qui sont des platitudes habituelles, des mots…
Je vous invite à vous pencher sur une méthode trouvée par hasard, qui concerne la mise en pratique de nos idées: la recherche-action: https://recherche-action.fr 
c’est l’une des méthodes sociétales de partages de savoi-faires et connaissances parmi les plus concrètes que j’ai pu lire …

quant à la fin je lis croissance durable et solidaire… je frémis en ayant cru lire de l’UMPS …la croissance est un indicateur de bonne santé du système, en aucun cas de la société ! durable croissance et faire croire que le « marché » est un mécanisme compris et régulier (???) quant au solidaire il s’attache à « mettre au pas du régime »: en bref l’indicateur clé (PIB) est toujours une augmentation (pas du bien-être) mais des prix et des coûts, sous-jacent du profit par certain. OR on cherche une croisance bienheureuse, de développement des réflexions et des personnes, pas des façons de mieux profiter par industrialisation !

à 23:25
Un jour j’ai perdu l’envie d’être fou… quand j’ai vu que c’était un comique en société.
Je voulais vivre en société, partager et avancer des solutions que nous étions convenue de chercher durant les 2 semaines à venir. DYSTOPIE: « Cela fait maintenant 3 mois que les grèves successives ont totalement paralysées le pays, … les pays… les transports en rade, les autoroutes constamment sous patrouille armée. Notamment lorsque la régie logistique de Rungis n’a plus été capable de fournir tous les habitants de la couronne 3 … Le manque d’aliments c’était pas une blague, à partir du moment où il n’y avait plus personne pour faire le convoyage à des sommes raisonnables, la pénurie a gagné. Il ne fallut pas une semaine pour voir des voisins se réunirent pour proposer un grand potager commun… en plus du boulot (quant il y en avait encore)… »

à 23:33
L’idée séculaire était de préserver des emplois, coute que coute, de croire que l’économie résoudrait l’ensemble de nos soucis matériels. Mais la « sur-taxe » des chaines vivantes n’a pas réussie à maintenir quoi que ce soit, les plus mal payés (et on est descendu assez bas pour que certain commencent à prendre un 2ème boulot d’artisanat industriel) et ce qu’ils gagnaient en argent, ils ne pouvaient le dépenser ni en remboursement, ni en biens de consommation: pourquoi 2 TV, 2 paires de bottes ? 5 manteaux ? A quoi bon une consommation d’apparat et de sur-inutilisation des objets ? Mais le pire fut encore la vigueur à maintenir le marché de l’automobile, grande roue de cette économie pourrissante: les politiques étaient incapables de proposer aux industriels une vaste coordination pour un véhicule partagé. Non, les vieux démon du véhicule individuel, des espaces clos restait l’objectif pour tous.

Nous étions passé au « tous indépendants », mais la rengaine était le « chacun pour soi » … nous avancions vers la misère … (années Sarko du pseudo-statut (esclave ?) de l’auto-entrepreneur et de l’ubérisation)

à 23:41
plates illusions, je vais enfin dormir: le monde ne change pas il se solidifie. Je saurais qu’il ne se transformera qu’avec un choc terrible: une prise de conscience massive de pied du mur. 2022 ? changement visible du climat ? Evolution des politiques vers une industrialisation localisée ?

La solidarité inclue la misère, elle l’a suppose à ses côtés, je serais aveugle. Mais les termes thématiques de la politique sont de plus en plus cloisonnant. La croissance est une mesure qui ne se préoccupe qu’en infime facteur du bien vivre de l’humain. Le durable a maintenant pris toutes les couleurs de l’industrialisation de nouveaux produits (green washing), et sans utilité pratique, sans moyen, qui les achètera ?
Heureusement, le système a son arme de poing: le crédit ! … décourageant vraiment.

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